décembre 2012

30 décembre 2012  |  6 Commentaires  |  

A l’occasion de cette nouvelle année, je vous adresse tous mes meilleurs voeux. J’espère que celle-ci sera pour vous tous synonyme de santé et de bonheur. Je vous remercie pour votre confiance et votre fidélité.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Christophe

26 décembre 2012  |  4 Commentaires  |  

Dans les populations non nourries artificiellement, le rut du sanglier s’étend généralement sur la période d’octobre à janvier avec un pic d’activité au mois de décembre. Les laies d’une même compagnie sont souvent synchronisées et leur chaleur débute donc en même temps. Discrets, solitaires et invisibles jusqu’à présent, les phéromones dégagées par la laie en chaleur font sortir les gros mâles des profondeurs de la forêt pour rejoindre la compagnie. Véritables mastodontes avec leur épaisse cuirasse et leurs puissantes canines, les mâles s’intimident flancs contre flancs la crinière hérissée pour jauger leur force avant de s’engager dans une lutte des plus violentes. Arc-bouté sur ses deux pattes postérieures, les mâles tentent de se déséquilibrer et de saisir l’adversaire à la gorge.  Seul le vainqueur aura la chance de saillir la laie et ainsi engendrer une descendance.

19 décembre 2012  |  2 Commentaires  |  

L’arrivée du solstrice d’hiver, entre le 20 et 22 décembre, sonne définitivement le glas de l’automne. Les ambiances brumeuses et colorées qui animaient les grandes futaies laissent désormais la place aux ambiances froides où la nature  endormie  se prépare aux futurs assauts de l’hiver.

13 décembre 2012  |  5 Commentaires  |  

L’hiver est une période propice pour photographier de nombreuses espèces d’oiseaux mais aussi les écureuils à proximité des mangeoires. Le choix des perchoirs s’avère alors primordial dans la composition de l’image pour ainsi tenter de mettre en valeur le sujet … comme ici avec ces vieux arbres recouverts de champignons polypores.

3 décembre 2012  |  Aucun commentaire  |  

Le pic épeiche (Dendrocopos major) est le piciforme le plus répandu de nos forêts et du bocage. Le plus souvent accroché aux arbres avec ses griffes puissantes, avec son bec robuste et sa longue langue, il recherche les petits insectes cachés sous les écorces des arbres morts. L’hiver avec la raréfaction des proies, il ne dédaigne pas se nourrir de graines lui apportant ainsi les réserves énergétiques indispensables pour surmonter les périodes de gel.