Dans une population sauvage, la diversité des organismes est de règle ! Les phénotypes alors observés sont le résultat de l’interaction entre les génotypes (patrimoine génétique proche à chaque organisme) et l’environnement (richesse du sol en minéraux notamment). Chez l’espèce cerf, on peut observer cette diversité des phénotypes au travers des bois. Ainsi dans une population peut apparaitre des daguets à la ramure atypique et particulièrement développée comme des longueurs de bois importantes ou encore des dagues fourchues. Fort probablement des cerfs d’avenir !
Dans cette période estivale dès plus chaude, le martin-pêcheur avec ses couleurs éclatantes nous apporte un peu de fraicheur !
Le plus grand des labbes, espèce pélagique, le grand labbe est un redoutable prédateur généraliste qui peut s’attaquer aux jeunes oiseaux d’autres espèces pélagiques des falaises et de petits mammifères. Opportuniste et charognard, il n’hésite pas à profiter de cadavre de poissons échoués sur les plages.
En ce début d’été, les jeunes blaireautins sont désormais bien développés et poursuivent leur apprentissage de la vie au sein de la cellule familiale. Avec les fortes chaleur de ces derniers jours, les blaireaux s’accordent une petite sieste à l’entrée du terrier.
Le blaireau est malheureusement considéré et classé parmi les espèces nuisibles. Je rappelle ici qu’aune espèce est nuisible dans la nature hormis les espèces dites invasives importées par l’Homme. Les espèces locales s’intègrent quant à elles dans les écosystèmes, les chaines alimentaires et les relations entre les espèces sont le résultat de millions d’années d’évolution !