février 2019

25 février 2019  |  Aucun commentaire  |  

En cette seconde moitié d’hiver, la production hormonale de testostérone est à son plus bas … les bois des grands cerfs tombent comme des feuilles mortes. Ce sont les cerfs les plus âgés qui perdent les premiers. Immédiatement après la chute des bois, la base du crâne au niveau des bois encore sanguinolente se cicatrice avant qu’un nouveau cycle de repousse  redémarre …  Une période de l’année où les grands cerfs se font très discrets. 

 

cerf mulet

 

cerf mulet2

19 février 2019  |  Aucun commentaire  |  

Qui n’a pas un jour entendu  en forêt  un cri rauque skrrèèik juste avant de voir surgir un cerf ?  Qui n’a pas un jour entendu un hululement de chouette hulotte ou encore une buse variable avant de ne voir qu’un geai des chênes. Véritable sentinelle, imitateur hors pair, le geai des chênes  est une espèce forestière très farouche. Un fidèle compagnon de nos affûts mais, attention, lui aussi peut trahir notre présence !

 

geai des chênes 1

 

geai des chênes 2

11 février 2019  |  3 Commentaires  |  

L’hiver est la période la plus propice pour photographier la buse variable (Buteo buteo), l’un des rapaces le plus commun de nos campagnes. On entend parfois des personnes dire que le nombre de buses variables est de plus en plus important. Il faut surtout savoir que l’hiver, les populations locales se retrouvent renforcées par des individus migrateurs en provenance des pays nordiques.

La buse variable participe à l’élimination des charognes en  décomposition dans la nature et sachez, qu’en hiver, ce rapace se nourrit de nombreux vers de terre quand les sols ne sont pas gelés !

Ce matin là, dans un épais brouillard, une buse est descendue s’alimenter mais très rapidement la propriétaire des lieux est venue rétablir l’ordre dans la friche. Il lui aura fallu trois offensives pour régner à nouveau sur la friche.

 

 

buse variable 01

 

buse variable 02

 

buse variable 03

1 février 2019  |  1 Commentaire  |  

s beau corvidé malheureusement aussi  mal aimé, la pie bavarde présente un plumage blanc et noir avec des nuances de reflets bleus violacés. Souvent bruyante, grégaire l’hiver, la pie affectionne les habitats ouverts que ce soit des prairies, le bocage, des bosquets mais aussi les jardins. Omnivore, la pie est avant tout une espèce opportuniste selon la disponibilité alimentaire et les saisons (insectes, baies, graines, charognes …). 

 

pie bavarde2

 

pie bavarde

 

pie bavarde1